En clair, 3D Mink Beauty permet de fabriquer soi-même ses produits de maquillage à partir d’une image sélectionnée par vos soins – visuel des réseaux sociaux, photo prise sur le vif ou capture d’écran – et de l’importer vers l’application Mink.
Celle-ci convertit les couleurs des images en code hexadécimal et le transmet à une imprimante dédiée. En bout de chaîne, l’utilisateur obtient une matière cosmétique sur une feuille spéciale, applicable au doigt ou au pinceau.
Grace Choi en pleine keynote.
Avec 16,7 millions de couleurs disponibles et un temps d’impression moyen de 15 secondes par feuille, ce système annonce-t-il le futur de la beauté ? « Les consommateurs d’aujourd’hui, ont des attentes de plus en plus élevées sur la façon dont les produits doivent s’intégrer dans leur mode de vie, continue Grace Choi. Nous sommes très excitées à l’idée de proposer une nouvelle plateforme de distribution et de faire converger les différents points de contacts que sont le monde réel, le web et le social media. »
L'imprimante 3D qui vous maquille.
Commercialisée courant 2020, cette application fonctionnera avec un abonnement. Ses utilisateurs devront s’équiper d’un appareil d’impression à 295 $. La beauté sur demande a un prix.