LUXE L’uniforme tradi a-t-il la cote ? Pas de panique, nous ne faisons pas là référence à la trilogie Cyrillus-BonPoint-collier de perles de rigueur dans les raouts les plus conservateurs mais à l’habit traditionnel grec, yéménite ou ukrainien, qui file un sérieux coup de peps à l’expression « ethnique chic ».
Vues sur la reine des it-girls Alexa Chung, le supermodel Jourdan Dunn, l’actrice Melanie Thierry et dans les pages modes des plus grands titres féminins internationaux, les robes néo-folklo de Vita Kin appartiennent depuis l’été dernier au dress-code des femmes qui ont tout compris.
Mélanie Thierry, toute Vita Kin dehors.
Inspirées par le vestiaire traditionnel ukrainien, les robes de la créatrice se réapproprient l’héritage ancestral des pays de l’Est, notamment en matière de broderie. Un savoir-faire qui vaut son pesant d’or : les blouses et robes en lin Vita Kin s’arrachent à prix avoisinant les 2 000 € pièce.
Dodo Bar Or à la piscine.
La tradition se joue aussi plus au sud, à l’image des vêtements Dodo Bar Or. La marque d’inspiration yéménite traditionnelle a tapé dans l’œil de Bar Refaeli, Demi Lovato ou Selena Gomez, toutes prêtes à débourser 990 € pour une jolie robe en crêpe et l’enseigne se trouve désormais en bonne place sur les sites comme Net-à-porter, Matches ou MyTheresa.
Le profil grec.
Un peu plus accessibles, les spartiates de Ancient Greek Sandals font un « pidichto » (la danse sautée) : des sandales traditionnelles créées de façon artisanale dans l’atelier athénien des créateurs Nikola Minoglou et Christina Martini. Des petites merveilles qu’on peut se procurer moyennant 150 €. De quoi éponger la dette grecque ?
La ethnic-list:
Vita Kin.
Dodo Bar Or.
Ancient Greek Sandals.