FUTURS Et si le problème de la surpopulation mondiale, en plus de nous pousser à envisager la colonisation de planètes, nous amenait à vivre sous la mer ? On plaisante, bien sûr, face à cette notion toute relative dont l’un des intérêts est de servir d’accroche à notre sujet du jour : les Floating Seahorses.
Boat sweet home.
Conçues par Kleindienst Group, ces maison flottantes grand luxe viendront enrichir le projet pharaonique The Heart of Europe, sur les îles artificielles The World Islands, au large de Dubaï, l’un des sept émirats qui composent les Emirats arabes unis.
La Floating Seahorse Signature Edition (version grand luxe de la déjà commercialisée Floating Seahorse) est donc une maison flottante de 4 000 mètres carrés sur trois niveaux capables d’accueillir huit personnes avec enfants.
Au loin, Dubaï en fête.
Notre vision puise ses sources dans le patrimoine et la culture européennes.
Au choix des heureux propriétaires ? La chambre du niveau supérieur, celle sur le pont principal ou celle sous la mer, histoire de s’endormir en se prenant pour Atlas, le roi de l’Atlantide, si tant est que la barrière de corail artificiel qui court le long des maisons fasse illusion.
La véritable révolution de la « maison licorne » tient bien sûr dans sa partie immergée abritant un boudoir, une salle de jeux, une suite et une chambre d’invités.
En attendant Nemo.
« Notre vision consiste à créer une élégante expérience de vie qui puise ses sources dans le patrimoine et la culture européennes et où chaque détail est soulignée par le luxe et la perfection », explique Josef Kleindienst, un Autrichien passé par le Parti de la liberté de Jörg Haider et désormais président de Kleindienst Group.
Tout à son affaire, il assure atteindre le chiffre de quarante commandes d’ici le mois d’octobre. Le prix d’une Floating Seahorse ? 3 M€. A ce prix-là, est-il possible d’exiger un mobilier moins kitsch que celui proposé sur catalogue ?
Pour commander une maison :
The Heart of Europe.